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    • Jean Michel
      You forgot to mention the well known QBH and QNL respectives off line codes for Beyrouth (created when I was nominated DR for Middle East based in Neuilly) and Neuilly( where was based the Africa regional DR office after Dakar and before Johanesburg

    • Hello Jean-Pierre,
      Yes interesting! The creation of these codes (of course I know them but did not think to mention their story) has a lot of stories attached to them. It has been easier for SITA to obtain the creation of 3 letter codes than to be allocated the exclusive use of a two alpha code.

    • As commented by Jean-Pierre, sometimes codes have a story to tell us. The code for Geneva is GVA. Voltaire, the French philosopher lived in this city in the 18th century; but after some time he had to leave for Ferney-Voltaire, because he as a fan of theater he had plays frequently performed at his mansion , Les Délices in Geneva. But at that time the Calvinist mood was still strong in the City and theater play was formally forbidden. However today, Geneva still remembers Voltaire and a few years ago a fundation was created to support research on his writings and publications and it is housed together with a small museum in the Delices mansion which still exists in the city. the promoters of this project also thought that the Geneva airport could be renamed the Geneva Voltaire Airport. One of their argument was that the acronym would nicely match the three letter code GVA (as it is for instance the case for CDG or JFK). But Voltaire was however not popular enough in Geneva for this project to get through!

    • Votre intéressant article à ce sujet m’a ramené quelques souvenirs en mémoire.

      – Lorsque je suis entré à la SITA nous utilisions les codes ICAO exclusivement. Ce n’est que vers 1955 que nous avons adopté les codes IATA.

      – EDI and Serge Motard venant dans notre région pour en faire la promotion et ayant fait quelques progrès à MNL en conjonction avec Leonida Rabe (MNLUA).

      – BSP et la mise en place d’un processor à SIN avec Gilles ROY et un Scandinave Bengt Fagerberg.

      Bernard

    • Intéressant. Merci. Oui Ruedi m’avait mentionné que les codes ICAO étaient utilisés avant les codes IATA: était-ce le cas pour les codes compagnie aussi bien que pour les codes aéroports?
      C’est Gilles Roy qui m’a fait découvrir les BSP et expliqué pour la 1ère fois leur principe de fonctionnement. Et cette connaissance m’a été utile lorsque j’ai postulé des années plus tard à IATA!
      Il me semble que le dernier BSP dont j’ai entendu parler, en arrivant à IATA, qu’il avait été opéré par SITA est celui de VIE en Autriche.
      Ce serait intéressant d’avoir un article sur ces BSP et le rôle de SITA.

    • Oui les codes ICAO étaient utilisés en totalité aussi bien pour les villes et aéroports que pour les compagnies. Ce qui était intéressant à cette époque où les liaisons radio étaient plutôt aléatoires car non protégées c’est que le code ICAO avec ses 4 lettres indiquait le pays ou tout au moins la région concernée ce qui permettait une vérification supplémentaire de l’adressage. Par exemple si vous aviez Sénégal/Saïgon l’erreur était évidente et l’opérateur faisait répéter. Évidemment tous les opérateurs radio utilisaient couramment le code Q. Cela me rappelle une anecdote amusante. J’avais emmené Bourgeois l’inspecteur Opérations SITA dans un village de la banlieue Saïgonaise et dans une boutique il avait vu des objets qui l’intéressaient. Pendant qu’il regardait je vais faire une autre course et lorsque je reviens Bougeois me dit:

      – Tout est arrangé nous revenons ce soir à 5 heures.

      – Mais comment avez vous fait, il ne parle pratiquement pas français?

      – J’ai vu une manipulateur sur son buffet alors j’ai pensé qu’il lisait le morse et nous avons correspondu verbalement en morse, et voila! (exemple QRX= heure prochain rendez-vous)

      Bernard

    • Il y a également eu un code Z pour les liaisons teletypes mais les communications étant plus sécurisées ce code n’a pratiquement pas été utilisé du moins à la SITA;

    • Les premières liaisons radio, et ce pendant plus d’un demi siècle, ont eu lieu en graphie pure c’est à dire l’émission d’une fréquence radio que l’on pouvait à l’aide d’un manipulateur mettre en route ou interrompre très rapidement. Cela donnait à la réception par battement produit avec un oscillateur local (BFO) un son audible. Pour utiliser ce montage on a créé le code morse fait de points et de traits pour constituer un alphabet.

      exemple :

      a . _ b _… c _._. d _.. etc

      mais on s’est aperçu très vite qu’il était beaucoup trop long de poser une demande ou de donner des informations en langage clair à son correspondant et que pour les échanges courants il était utile de créer un code. De plus avec l’apparition rapide de liaisons radio internationales les correspondants ne parlant pas toujours la même langue il était nécessaire qu’ils se comprennent d’où la création d’un code international. C’est l’origine du code Q composé de 3 lettres dont la première est toujours la lettre Q exemple : A quelle heure la prochaine vacation ? à 15OO GMT et en code Q : QRX? QRX 1500Z

      ou encore: je suis brouillé par des parasites je t’entends mal se dit: QRM

      bien vite le code Q a dépassé le domaine des télécoms pour s’étendre à celui des utilisateurs et par exemple dans l’aviation:

      Je ne peux pas me poser je fais demi-tour : QRF ou encore:
      Quelle est la pression atmosphérique chez toi? : QNH ?

      Et voila pour le code Q dont l’utilisation a pratiquement disparu avec la venue de la phonie bien que j’entende encore parfois des tours de contrôle dire par exemple: “QNH 1012millibars”

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